mardi 29 septembre 2009

Les affiches du non en Irlande

Bonjour à tous,

Comme vous le savez, l'Irlande s'apprête à revoter pour le traité de Lisbonne. Steven était en Irlande la semaine dernière et a pu prendre des photos des affiches pour le non.

Je vous laisse voir de vous même à quel point on peut dire tout et n'importe quoi sur l'Europe. A les écouter, l'Europe est responsable de la misère et du chômage en Irlande. En votant non, les irlandais pourraient ainsi retrouver un pays sans aucun problème....

A quand l'affiche "voter non pour éradiquer le virus du sida", "voter non pour empêcher l'UE d'envoyer des dragons en Irlande", etc... On peut vraiment raconter n'importe quoi.

Et le pire, c'est que les affiches du oui sont aussi ennuyeuses que compliqués. Le scrutin s'annonce passionnant...

Merci à Steven pour les photos!

n

samedi 26 septembre 2009

Vers une fédération Happy People ? - Article dans le DL du 26-09-2009

Bonjour à tous,

Un nouvel article à propos d'Happy People est passé dans le journal "Le Dauphiné Libéré" ce samedi 26-09-2009. Un article sur l'InterHP qui a eu lieu samedi dernier à propos de la création de la fédération.

L'article est pas mal, même si plusieurs mots sont collés les un aux autres sans qu'on sache bien pourquoi...

Bonne lecture!

jeudi 24 septembre 2009

Article sur Happy People sur Couchsurfing

Bonjour à tous,

Il y a quelques semaines, j'avais été contacté par une "ambassadrice Couchsurfing monde" pour parler des rencontres cafés linguistiques. Elle m'avait posé plusieurs questions sur les cafés linguistiques, ce que cela apportait, comment ça se passait, etc...

Le résultat a été un article paru aujourd'hui sur le site Couchsurfing. Cet article en anglais montre également d'autres initiatives similaires à Happy People.

L'article est pas mal, surtout parce qu'il met en lien chaque groupe d'Happy People, même s'il ne nomme pas l'association...Tous les groupes ? Ils ont oublié Bourges!! Pourtant je leur en avait bien parlé! D'autant plus qu'Adrien, le responsable des rencontres HP à Bourges est aussi ambassadeur Couchsurfing à Bourges...

Bonne lecture!

http://www.couchsurfing.org/channel_read.html?gid=13347&post=3844618


Breaking the Language Barrier
Posted right now

CouchSurfers are using language exchanges to connect across cultures.

CouchSurfing language exchanges are currently available in many cities:

Brussels (Belgium)
Denver (USA)
Duisburg (Germany)
Grenoble (France)
Guadalajara (Mexico)
Krakow (Poland)
London (England)
Lyon (France)
Madrid (Spain)
Marrakech (Morocco)
Moscow (Russia)
Paris (France)
Rio de Janeiro (Brazil)
Rosario (Argentina)
Stockholm (Sweden)
Toronto (Canada)
Valence (France)

What about starting one in yours?

What traveler wouldn't like to be just a little bit better at another language? When you're asking for directions, catching a movie, or making a new friend, you feel the rewards. But don't worry, it doesn't have to be just grammar worksheets on the way. CouchSurfers around the world are meeting up to practice their skills while enjoying connections with new friends.



Polyglots in the park at Paris' Tower of Babel event
photo: Frederic Raquil, RF Photographe

What kind of meeting would you like?

Language exchanges can take as many forms as there are groups to participate in them.

T0shi, a CouchSurfing city Ambassador for London, organizes monthly meetings for between 40 and 100 people. "I prepare stickers for each attendee when they sign up with 'yes / 100%.' You have your name and the languages you speak. It's not formal, and I don't provide language classes during the meeting. It gives you an opportunity to practice casually and socialize."

Warsowie, who arranges weekly meetups in Marrakech, agrees with the informal approach, but she likes to separate people into groups of people with "one language to share together and one to learn so there is one half hour in one language and one in the other."

Guy van den Biggelaar, who organizes meetups for around 20 people in Brussels, recommends playing organized games. He likes the popular party game 'Werewolf' or 'Mafia' (read the rules). It works to get people talking, he says, because it's "a game of accusations, lying, bluffing, second-guessing, and mob hysteria."


Cheers! in Brussels
photo: Guy van den Biggelaar

After setting up several exchanges during his travels, Laurent Juillard thinks that his ideal exchange is "formal, interesting and dynamic." He envisions the group paired off: a French person who wants to learn Portuguese paired with a Brazilian who wants to learn French, for example. Each pair would start with a formal language lesson, then a cooking class, and then chatting and socializing over the meal.

Vincent Sheideck organizes a large variety of language events both through CouchSurfing and through his own non-profit site, Polyglot Club. These can range from May's 350 person Tower of Babel event in Paris to small local meetings, but he's got some tips he sticks to in all cases. To begin with, "you have to say to people, 'don't be selfish, teach and learn 50% of the time." Also, "everyone stand up so that the interaction is better -- if you're seated, you'll only talk to your neighbors." And he reminds organizers that "people are generally shy. You have to welcome them as they enter and introduce people to each other."



CouchSurfers share why they love attending language exchanges:

"Polyglot events help people improve language skills. A lot of people are studying foreign languages and never get to practice, and thus forget much of what they learn. Polyglot events always have a big mix of levels, from beginners, advanced to native speakers. Their warm atmosphere makes people feel comfortable asking questions."
Sepi Hosseini (English, Spanish, Persian, Arabic)

"It helps foreign people integrate with people who see them as a rich value in the city, not just foreigners."
Romain Galati (French, German, English, Italian, Croatian, Serbian, Polish)

"In my first meetings, it was difficult for me to express my ideas sometimes, but, due to a friendly atmosphere, the ideas started being uttered and the desire to continue conversations happened to last even after the meeting. Progress in fluency is seen usually in a month or two of regular attendance and active participation."
Alexander Volkov (Russian, English, French, Japanese)

"These meetings are a good way to meet people from our own town. And also as it's based on talking (any language) you can really get to know people, unlike in regular parties where it's often too loud and crazy."
Augustina Diaz (Spanish, French, English, German, Italian)


mercredi 23 septembre 2009

Une lettre de Strasbourg...

Bonjour à tous,

J’ai eu la surprise hier de recevoir une lettre particulière. En effet, elle venait du parlement européen à Strasbourg !

Mais pourquoi le parlement européen m’a-t-il écrit une lettre ? Par rapport à notre participation avec Happy People 26 au concours Charlemagne de la jeunesse 2009 ! C’était la deuxième fois que nous y participions, mais nous n’avions pas reçu de courrier la première fois.

Quel est ce concours ? Chaque année, le parlement européen et la fondation Stiftung Internationaler Karlspreis zu Aachen (Fondation international du prix Charlemagne à Aix-la-Chapelle) organise un concours pour récompenser les projets permettant de promouvoir une meilleure compréhension entre les citoyens de l'Union européenne. Tous les citoyens ou résidents des 27 pays membres de l'Union européenne (UE) âgés de16 à 30 ans peuvent participer, individuellement ou en groupe, dans toutes les langues officielles de l'UE à la seule condition que le projet qu'ils présentent soit déjà lancé.

Les représentants des 27 projets nationaux sélectionnés étaient ensuite invités à la cérémonie de remise des prix qui s’est tenue à Aix-la-Chapelle, en Allemagne, le 19 mai 2009.

Les trois meilleurs projets ont été récompensés respectivement d'un chèque de 5 000, 3 000 et 2 000 euros. Ces prix ont été remis par le président du Parlement européen et par le représentant de la Fondation du prix Charlemagne. Les lauréats ont également reçu une invitation à visiter le Parlement européen.

Pour ces 2 participations, Happy People n’a pas remporté de prix, mais a toujours reçu les encouragements du jury.

Maintenant que notre association compte 5 groupes, dont 1 en Allemagne, peut être que nos chances de gagner l’édition 2010 seront meilleures ? Dans tous les cas, le parlement européen peut déjà préparer la prochaine feuille de participation !

mardi 22 septembre 2009

Le Monde - A la découverte de la société allemande

Bonjour à tous, hallo zusammen

Le journal Le Monde propose une série d'article sur l'Allemagne et les changements qu'a vécu la société allemande ces dernières années. Entre la chute du mur de Berlin, la réunification et la crise économique, l'Allemagne a beaucoup changé! Et c'est pour mieux comprendre ces évolutions que Le Monde propose des articles très pertinent sur ces changements.

Le premier, intitulé "En Allemagne, le bastion prospère du Baden-Wurtemberg découvre la crise" vous invite à découvrir comment la crise est vécue dans ce land réputé très riche. Il s'agit de la région de Stuttgart, Heidelberg, Fribourg, de la forêt noire, d'Ulm et... Biberach, le ville jumelle de Valence!

Bonne lecture! Viel Spass!


Société allemande : le changement à petits pas (1/6)

En Allemagne, le bastion prospère du Bade-Wurtemberg découvre la crise


Reutlingen (Bade-Wurtemberg) Envoyée spéciale

Pour désigner la riche région de Stuttgart, dans le sud-ouest du pays, les Allemands ont inventé un mot : Musterländle. Littéralement "terre modèle", en dialecte souabe. Une expression qui résume bien ce pays prospère, siège de quelques-unes des marques les plus prestigieuses de l'Allemagne (Porsche, Mercedes, Bosch) et d'une multitude de petites et moyennes entreprises hyperperformantes. Et Reutlingen, ville de 110 000 habitants à 30 km au sud de Stuttgart, est une Muster-stadt ("cité modèle") au coeur de ce Musterländle : le plus grand centre économique entre la capitale du Bade-Wurtemberg et le lac de Constance, disent fièrement les gens du cru.

Pourtant depuis le début de la crise, la belle machine s'est enrayée. Très spécialisées à l'export, les entreprises ont subi de plein fouet l'effondrement des marchés mondiaux. A Reutlingen, le taux de chômage (5,4 % en août) ferait certes pâlir de jalousie n'importe quelle ville de l'ex-RDA. Mais il a bondi de moitié en moins d'un an. Surtout, le Land tout entier est devenu un fief du Kurzarbeit, le chômage partiel, un dispositif encouragé par le gouvernement allemand. Plus de 300 000 salariés sont concernés dans le Bade-Wurtemberg. Rapporté au nombre d'actifs, c'est plus que dans n'importe quelle autre région allemande.

A l'agence pour l'emploi de Reutlingen, personne n'a oublié ce jour de fin septembre 2008, une semaine après la faillite de Lehman Brothers, quand le téléphone s'est mis à sonner pour ne plus jamais s'arrêter. Petites, grandes, familiales, près d'un millier d'entreprises ont eu recours au Kurzarbeit ces derniers mois. Un moyen de conserver les savoir-faire tout en allégeant les coûts salariaux. Car les employeurs redoutent de se retrouver confrontés à une pénurie de main-d'oeuvre, une fois la déflagration passée.

"Mais aujourd'hui, il y a moins de demandes, et ce n'est pas forcément une bonne nouvelle", note Ulrich Häfele, le directeur de l'agence. Sans nette amélioration de leur activité, beaucoup d'entreprises sont maintenant obligées de licencier. Le nombre de chômeurs devrait continuer à grimper, au moins jusqu'à l'été 2010. Point de colère ni de révolte, toutefois, à Reutlingen. "Tout le monde attend en espérant que ça reparte. Ce n'est pas dans la culture des gens d'ici de manifester, ils trouvent cela indécent", indique sobrement M. Häfele.

Chez Bosch, les syndicats seraient presque prêts à distribuer un bulletin de bonne conduite à la direction, qui a renoncé jusqu'ici à toute suppression d'emploi. Pourtant, le premier équipementier mondial est à la peine : il devrait inscrire une perte nette cette année, pour la première fois depuis cinquante ans. "Une telle chute des commandes en aussi peu de temps, on n'avait jamais connu ça", raconte Wulf Siepert, secrétaire adjoint du comité d'entreprise de l'usine Bosch à Reutlingen.

L'homme connaît les rumeurs qui circulent : les patrons de grands groupes auraient décidé de différer les licenciements au-delà du 27 septembre, date des élections législatives, pour ne pas mettre en péril une éventuelle coalition de droite entre chrétiens-démocrates et libéraux. Il préfère ne pas y penser. Pour l'heure, plus de 40 % des 6 500 employés du site travaillent à temps partiel. Qui trois jours par semaine, qui deux semaines par mois...

"C'est lafaçon la plus intelligente de surmonter la crise", assure M. Siepert, depuis quarante ans chez Bosch. "Mais les salariés sont forcément anxieux. D'autant qu'un Souabe qui ne travaille pas, ce n'est pas dans l'ordre des choses", fait-il remarquer avec son accent chuintant, typique de la région. Les gens continuent à rouler en Porsche et en Mercedes à Reutlingen. Mais dans le centre piéton bordé de coquettes façades, on croise beaucoup d'hommes désoeuvrés. Certains se donnent rendez-vous au café Aroma, qui fait des prix doux à ses habitués mis au chômage technique. C'est le cas depuis deux mois pour Andreas, 39 ans, employé chez un petit sous-traitant automobile.

En août, ce père de deux enfants a touché 75 % de son salaire. "Je ne peux pas m'empêcher de penser que je vais peut-être recevoir un papier me disant : c'est fini", dit cet ouvrier qualifié, inactif deux jours par semaine. Si l'on fabrique vraiment trop de voitures, comme tout le monde le dit, la crise ne va-t-elle pas s'installer pour de bon ? Ne va-t-il pas y avoir des faillites en chaîne ?

Ces derniers mois, des experts ont semblé lui donner raison en tirant la sonnette d'alarme : trop d'industrie automobile, trop de dépendance aux exportations, le Bade-Wurtemberg doit repenser sa structure économique.

Directeur de la chambre de commerce et d'industrie de Reutlingen, Wolfgang Epp refuse d'écouter ces sombres augures. Il l'assure, les entreprises locales, souvent numéro un mondial sur leur marché de niche, profitent d'une compétitivité, d'une capacité d'innovation intacte. Et d'une culture bien particulière : après avoir enregistré de gras bénéfices entre 2005 et 2008, les PME familiales ont "investi cet argent dans l'entreprise au lieu de le dépenser dans des vacances à Saint-Tropez". Une gestion prudente des finances à la façon de "la ménagère souabe".

Blottie dans les collines du Wurtemberg, la ville de Reutlingen a le regard fixé vers l'Asie où elle guette le moindre sursaut de la consommation. "Cela commence à repartir en Chine et en Inde, c'est bon signe pour nous", se réjouit M. Epp.


Prochain article :

les désillusions

de Tobias Schmidt, qui a tenté

sa chance à l'Ouest.

Marie de Vergès
Article paru dans l'édition du 20.09.09.

dimanche 20 septembre 2009

Week-InterHP - Les premières bases pour une fédération

Bonjour à tous,

Comme vous le saviez, ce week-end a eu lieu l'important week-end InterHP à propos de la création d'une fédération.

Pourquoi créer une fédération ? Pour créer du lien entre les différents groupes Happy People (5 actuellement : Bourges, Duisbourg, Grenoble, Lyon et Valence). Elle devrait permettre de créer un véritable réseau afin que toutes ces associations puissent se connaître, s'informer et s'entraider.

Le week-end s'est bien passé et de nombreux points ont pu être débattu. Des compétences de la fédération à son mode de fonctionnement, en passant par le site internet et le nom, ce sont ainsi des bonnes bases qui ont pu être posées.

La prochaine étape est maintenant de rédiger un compte-rendu de l'InterHP, ainsi qu'une charte qui reprends ces points, et de la proposer à chaque organisateur de rencontre HP de France et d'Allemagne, afin qu'ils y apportent les modifications nécessaires si besoin et après la valide. Une fois cette charte validée, nous pourrons construire dans le détail la fédération et prévoir une rencontre en novembre pour signer les statuts.

C'est un début très encourageant! La fédération dispose déjà de ses bases! Merci à tous ceux qui soutiennent ce projet!

jeudi 17 septembre 2009

Tütte in der Kette - L'industrie et les langues étrangères

S’il y a bien un secteur qui profite de la mondialisation, c’est bien le secteur industriel. La plupart des entreprises étant privée, beaucoup d’entre elles ont fait le choix de travailler ensembles, formant ainsi des groupes d’entreprises internationaux.


Les pays de l’Union Européenne connaissent particulièrement bien ce phénomène grâce au marché commun. De nombreuses entreprises de pays européens différents ont ainsi créé des partenariats, fusionné ou formé un groupe, afin que chaque entreprise profite de cette synergie.


On aurait pu penser que cette internationalisation des entreprises aurait également mené à une certaine internationalisation des employés ? Pourtant, mon expérience d’interprète durant ces 3 jours témoigne d’une autre réalité…


En effet, j’ai reçu une proposition spontanée du pôle emploi pour faire l’interprète français-allemand pendant 3 jours. L’entreprise qui m’a contactée fait partie d’un groupe international et malgré le nombre important de salariés dans leurs services, pas un ne parle allemand. Mais plus grave encore, ils ne semblent pas non plus avoir de très bonnes notions d’anglais…


Mais les français ne sont pas les seuls à avoir ce problème. L’allemand qui est venu à Valence pour réparer les machines ne parle pas non plus d’autres langues que l’allemand. Nous avons également eu des contacts avec l’entreprise qui produit les machines, et encore une fois, personne ne parle autre chose que sa propre langue.


Cela entraine des problèmes de communication, des délais dans les réparations des machines et ainsi des délais supplémentaires dans la production.


Il s’agit bien sûr que d’une expérience unique, mais elle témoigne bien du problème du multilinguisme en Europe. Il est très dur de pouvoir suivre des cours de langues après les études. Pourtant, les entreprises gagneraient en productivité, en communication avec l’international et cela leur ouvrirait de nouvelles perspectives si leurs personnels parlaient une ou plusieurs langues étrangères, en plus de leur langue maternelle.


En attendant, je ne vais pas m’en plaindre. Avec ce système, on n’est pas prêt de se débarrasser des traducteurs !

dimanche 13 septembre 2009

Sprechen Sie Österreichisch ? Parlez-vous autrichien ?

Grüss Gott!

Hatti-gatti! Est-ce que l'autrichien est une langue ?

La langue officielle de l'Autriche est l'allemand. Do schaust wie a Uhu noch'm Woidbraund! Kriegst du die Freisen ? Geh ma net am Zaga, das ist doch gwandt!

S'il n'existe pas une vraie langue autrichienne, il existe bel et bien un ou plusieurs dialectes en Autriche.

Si vous ne voulez pas avoir l'air d'un touriste lors de vos voyages à Vienne ou si vous n'arrivez pas à comprendre ce que vous disent vos amis autrichiens, alors vous pouvez faire un tour sur le site du dictionnaire "Allemand-Autrichien" à cette adresse :

http://www.ostarrichi.org/index.html

Bonne lecture!

samedi 12 septembre 2009

Témoignages sur la chute du mur de Berlin

Hallo zusammen,

A l’occasion du 20ème anniversaire de la Chute du Mur de Berlin, l’OFAJ lance un appel à témoignages en France et en Allemagne à travers un blog dédié à cet événement: http://murdeberlin-ofaj.org

Vous avez vécu -à cette époque ou des années plus tard- une expérience, une rencontre, un échange franco-allemand qui n‘aurait pas été possible sans cet événement ? Vous l‘avez ressentie de manière forte, surprenante, drôle ou émouvante?


TEMOIGNEZ!


Cet appel à témoignages est ouvert à toutes les personnes résidant en France ou en Allemagne, sans distinction d’âge. Le support de témoignage peut être un texte, une photographie commentée, un enregistrement sonore ou un document vidéo.

Les contributions peuvent être envoyées jusqu’au 15 octobre 2009 au plus tard. Les meilleurs témoignages seront récompensés par un voyage à Berlin à l’occasion du 20ème anniversaire de la Chute du mur de Berlin, le 9 novembre 2009.

mercredi 9 septembre 2009

Happy People sur Facebook

Bonjour à tous,

Étant donné que le nombre de groupe HP est en régulière augmentation, voici un petit récapitulatif des différents groupes sur Facebook :

Happy People 18 - Bourges :
http://www.facebook.com/group.php?gid=46685538274&ref=ts

Internationales Sprachcafé Duisburg - Duisbourg (Allemagne) :
http://www.facebook.com/group.php?gid=218409905256

Happy People 38 - Grenoble :
http://www.facebook.com/group.php?gid=40825451898&ref=ts

Happy People 69 - Lyon :
http://www.facebook.com/group.php?gid=127493925325&ref=ts

Happy People 26 - Valence
http://www.facebook.com/group.php?gid=7944912905&ref=ts

Et d'autres groupes sont sur le point de nous rejoindre, notamment en France et en Allemagne.

N'hésitez pas inviter vos contacts de ces villes dans ces groupes!

La rencontre pour discuter de la création de la fédération approche à grand pas et aura lieu du 18 au 20 septembre. Le questionnaire de préparation sur cette rencontre est toujours disponible en ligne! Vous le trouverez aux adresses suivantes en fonction de vos villes:

Pour Bourges : http://www.happypeople18.com/qInterHP.php
Pour Grenoble : http://www.happypeople38.com/qInterHP.php
Pour Valence : http://www.happypeople26.com/qInterHP.php

Merci d'avance!

mardi 8 septembre 2009

Dix jours à la française et 3 jours à Berlin

Bonjour à tous,

Je suis rentrée dimanche soir de Berlin et entre le rapport de stage à finir et les choses en retard, j'ai été un peu débordé hier.

Mais le rapport de stage a été rendu hier à Grenoble! Libération!

De ce fait, je vais pouvoir d'une part me reposer un peu aujourd'hui après un week-end à Berlin dont le trajet a été quelque peu perturbé mais le week-end a été tellement riche!

En attendant, voici l'article à propos du stage de français du jumelage.

Bonne lecture!

mercredi 2 septembre 2009

Berlin Berlin, here I come

Bonjour à tous,

Je serai absent jusqu'à dimanche car je part à Berlin pour le week-end. En effet, j'avais envoyé ma candidature pour le projet "jeunes ambassadeurs OFAJ", organisé par l'office franco-allemand pour la jeunesse (OFAJ). Ma candidature ayant été retenu, je prends l'avion demain pour Berlin!

Je rentre sur Valence dimanche dans la soirée. Entre temps je ne serai pas très présent sur le net.

Je vous parlerai du projet jeunes ambassadeurs de l'OFAJ après ce week-end. En attendant, voici un petit descriptif de ce projet:

Rôle des "Jeunes Ambassadeurs OFAJ" :

Dans un aller-retour entre le terrain et l’OFAJ, les 50 "Jeunes Ambassadeurs OFAJ" (25 jeunes domiciliés en France et 25 jeunes domiciliés en Allemagne) constitueront un nouveau groupe de réflexion et réseau d’information ayant pour objectif de faciliter l’échange entre les jeunes, les associations, les clubs de jeunes, les institutions officielles, etc...

En relation étroite avec l’OFAJ, ces Jeunes Ambassadeurs bénévoles (âgés de 16 à 28 ans) auront pour fonction d’informer, de représenter, de conseiller et d’inciter des projets par les jeunes et pour les jeunes au service de la coopération franco-allemande.

Ils devront permettre une meilleure collaboration des acteurs locaux et constituer un réseau dynamique pour favoriser les échanges franco-allemands de jeunes.

Les "Jeunes Ambassadeurs OFAJ" se réuniront une fois par an dans les locaux de l’OFAJ (Paris ou Berlin). Ils seront nommés pour un mandat de 1 an, renouvelable, percevront une indemnité annuelle et disposeront de quelques frais de représentation (voir conditions générales de participation.)

Les 4 et 5 septembre 2009, les candidats retenus seront invités à Berlin pour une réunion de présélection. Les "Jeunes Ambassadeurs OFAJ" sélectionnés participeront ensuite à la conférence "Retour à l’avant-garde II - Opportunités et perspectives des échanges franco-allemands de jeunesse, 20 ans après la chute du mur" du 17 au 20 octobre 2009 à Paris.

Berlin j'arrive!